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 Ah les dommages collatéraux (pv)

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MessageSujet: Ah les dommages collatéraux (pv)   Ah les dommages collatéraux (pv) EmptyMer 6 Fév - 22:55

J'avais l'impression d'être maudit depuis que j'avais été promu à la tête du bureau de St-Louis, je sentais bien que plusieurs personnes au sein même de l'entreprise ne voyait pas d'un bon œil le fait que je sois le patron, il est vrai après tout que j'avais du – malgré moi – froisser quelques ego en arrivant ici avec mes gros sabots mais bon je n'y pouvais rien si ces merdeux étaient nés pour un petit pain … en ce qui me concerne j'étais né pour opérer la boulangerie et c'est tout ce qui comptait. Néanmoins je me devais de faire taire ce vent de mécontentement et de contestation, il était impératif que je leur montre qui était le maître et qu'elle meilleure façon de leur montrer qui était le grand manitou que de congédier quelques employés à une semaine de Noël, non seulement j'allais marquer le coup en leur faisant comprendre que personne ne devait me contredire mais en plus j'allais épargner sur les bonus de Noël … de quoi me payer quelques grammes de coke supplémentaires.

Ce matin j'avais décidé de rentrer au bureau un peu plus tôt qu'à mon habitude, je devais travailler sur un dossier primordial pour le cabinet et comme je devais ensuite me rendre à la station de télé pour un interview je comptais quitter le travail plus tôt … donc afin de compenser, j'avais décidé de débuter la journée en avance. Comme j'étais arrivé tôt ce matin et que j'étais de bonne humeur j'avais apporté des cafés et des donuts pour tout les employés, malgré le fait que j'avais la grosse tête j'assurais un max et je dois avouer que je les appréciais et puis vint le moment ou je dus quitter afin de me diriger vers la station de télévision, histoire de m'acquitter de mon engagement.

L'entretien se déroula sans heurts, je répondais aux questions de mon interlocuteur sans la moindre hésitation et je donnais l'impression d'être en parfait contrôle de la situation et c'est alors qu'un fou fit irruption sur le plateau tenant un pistolet à la main, plus je le regardais plus il me semblait familier et c'est alors qu'il se mit à parler que je réalisai qui il était, il s'agissait de ce type que j'avais congédié un 24 décembre, bien que pour ma part j'avais passé à autres choses … c'était une décision d'affaire, pour cet individu c'était plus personnel et de le voir brandir un flingue à mon endroit ne pouvait qu'être des plus révélateurs de ses états d'âmes. Je vis que mon interlocuteur semblait paniqué ainsi que les employés du plateau, le mec menaçait de tirer si on quittait le direct … j'entrepris donc de calmer les gens et je me rapprochai du forcené … il était paniqué , probablement plus que je ne pouvais l'être.

Tu as raison d'être furax, se faire jeter tel une vieille paire de chaussette n'a rien de réjouissant mais il faut aussi comprendre mon point de vue, c'était avant tout une décision d'affaire … la rentabilité et la productivité n'était plus au rendez-vous et il a fallu ré-orienter nos stratégies afin d'atteindre les cibles de l'entreprise, c'est pourquoi tu as été visé par la restructuration de l'entreprise … tu as le droit de m'en vouloir mais terroriser tout ces gens tel que tu le fais en ce moment ne peut que te nuire, dans un premier temps cela ne te donnera pas ton job, et puis penses à tout ces gens … le présentateur, les caméramen, les gens à la régie … ils ont tous des familles qui les attendent et en ce moment des tas de mômes sont en pleurs se demandant ce que tu vas faire à leurs papa … nous il faut que tu ranges ton flingue … après tout ce contentieux est entre toi et moi.

J'espérais tant le voir revenir à la raison et lorsque je le vis baisser son flingue, je poussai un soupir d'aise, faisant un geste de la main aux gens afin de leur faire comprendre que tout rentrait dans l'ordre et puis, sans que je ne puisse réagir, il brandit son flingue et n'hésita pas à me tirer dessus à bout portant … la première balle m'effleurant superficiellement l'avant bras alors que la seconde percuta de plein fouet mon épaule … sous l'impact je me trouvai donc sur le dos et rapidement je me retrouvai inconscient.

Évidemment la sécurité finit par désarmer le mec et c'est dans une ambulance que je retrouvai histoire que l'on me conduise à l’hôpital afin que je reçoive les soins requis par mon état. Je demeurai quelques heures aux soins intensifs alors que l'on me retira cette fichue balle pour ensuite me faire quelques points histoire de refermer le tout et c'est dans une chambre privée que je fus conduit afin de pouvoir y reprendre des forces.
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MessageSujet: Re: Ah les dommages collatéraux (pv)   Ah les dommages collatéraux (pv) EmptyMar 12 Fév - 2:06

"Le soleil vient de se lever, il était temps de prendre son café, afin de partir travailler, et de retrouver...." Oh, voilà, j'étais de bonne humeur pour commencer une belle journée et par la même occasion être aux côtés de mon patron, plus encore. Je le désirais de plus en plus et il fallait à un moment donné que je réussisse à combler cette envie qui était en moi, d'être enfin près de lui. Je commençais tranquillement à prendre mon café jusqu'à ce que je voyais l'heure, mais mince, il était tard, vite, vite, je devais y aller. Je m'habillais de manière classe et sexy, afin de pouvoir éventuellement me faire pardonner d'un léger retard. Je profitais, je le savais, mais on devait quand même monter en grade. Je sortais en réussissant quand même à être prête ce qui était quand même un exploit car on disait des femmes qu'elles mettaient six mois à se préparer avant de partir de chez elle.

Je partais rapidement pour le boulot. J'arrivais en même pas une dizaine de minutes au boulot et je voyais que tout le monde était là. Discrètement, j'avais pris mon poste sans que personne ne puisse me voir, enfin, c'était ce que je croyais, car bien sûr un des collaborateurs m'avaient passé un de ses savons, c'était même un sacré savon, sauf quand je prenais un donut qui avait été visiblement acheté, mais, c'était un cadeau du patron, hum,, j'avais déjà le sourire. J'en prenais deux à savoir un que je mettais de force dans le bec de l'imbécile qui m'énervait et un pour moi, que je dégustais à pleine bouche. Au cours de la journée, je prenais des notes sur des courriers à faire, des rendez-vous et je m'occupais de mon patron, oh, des plus sexy. D'ailleurs, parmi les rendez-vous, il y en avait un à la télévision. Je ne m'en souvenais plus sur le coup mais qui sait, peut-être que je pourrais l'accompagner. Malheureusement, j'avais la consigne de rester, afin de respecter mes horaires. J'étais toute triste, mais même la moue d'enfer ne marchait pas.

Je sortais après ma journée, fatiguée de ce crétin de comptable qui n'arrêtait pas de me gueuler dessus sous le prétexte qu'il y avait un chiffre en moins, alors que j'avais mis ce qu'il avait notifié. Je n'avais envie que de lui balancer un coup de pied là où je pense. Oh, cela lui fera les pieds, mais au moins, je n'avais qu'à penser à la petite soirée. J'avais bel et bien l'intention d'être aux côtés de mon patron. Je décidais sans autorisation de me rendre au lieu du rendez-vous de Sean mais seulement, ce qui était curieux, c'était que je voyais une ambulance. Oh, non, ce n'est pas vrai ! Je priais pour qu'il ne soit rien arrivé à Sean. Je me dirigeais directement à l'hôpital où se dirigeait l'ambulance. Bien sûr, je détestais les embouteillages qui me retardait, mais au moins, j'avais toujours en ligne de mire mon objectif. J'arrivais à l'hôpital et je me garais. J'allais dans le service des urgences, à l'accueil. Je demandais à voir Sean Wallace. On me disait qu'il ne connaissait pas cette personne et c'était alors que je me transformais en véritable furie en disant que Sean était mon époux et que je voulais le voir. A ce moment-là, on s'excusait et on me demandait d'attendre. Je me postais à la salle d'attente, attendant des heures et je devais encore plus une furie jusqu'à ce que l'on m'annonçait qu'il était dans une chambre. Je pouvais souffler. On m'indiquait la chambre de Sean. Je me dirigeais immédiatement là-bas. Je cherchais la chambre de Sean et je la trouvais. Je voyais le médecin en train de sortir. Je voyais Sean sur ce lit d'hôpital, je me précipitais vers lui.


- Oh, non, que s'est-il passé mon chou ? Je suis passé non loin du lieu du rendez-vous et j'ai été très inquiète. Je n'ai jamais eu aussi peur pour quelqu'un. Ne me refais plus jamais ça, je t'en prie. Tu m'as déjà manqué, mais tu me manquerais encore plus si jamais, je te perdais. Je m'y refuse.

Je voyais qu'il y avait du monde et je devais tenir mon rôle. Je lui caressais la joue et je l'embrassais fougueusement, profitant du petit monde qui était passé afin de le faire durer le plus longtemps possible, mais lorsque l'on se retrouvait enfin seul, je me montrais des plus gênés, versant des larmes, ayant eu peur de le perdre. J'étais toute innocente, enfin, en apparence.
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MessageSujet: Re: Ah les dommages collatéraux (pv)   Ah les dommages collatéraux (pv) EmptyMar 12 Mar - 9:25

Je parvenais aisément à comprendre la colère qui avait animé ce type, après tout se faire congédier n'est jamais une expérience des plus plaisante en soit et le fait d'avoir ajouté l'insulte à l'injure alors que je m'étais permis de le virer la veille de Noël avait surement du être de nature à le pousser dans ses derniers retranchements. Évidemment cela ne justifiait aucunement son recours à la violence mais néanmoins je pouvais le comprendre, lorsque je le vis arriver à la station de télévisions je réalisai rapidement qu'il ne comptait pas reculer et que le temps était venu , pour moi, de faire face à ma rédemption … le voyant s'agiter et craignant que la panique le pousse à commettre l'irréparable je tentais de le raisonner afin de lui faire prendre conscience des innocentes victimes qu'il s’apprêtait à faire. Je semblais avoir gagné mon point et il semblait être enclin à ranger son arme mais le fait de voir les agents de sécurité se rapprocher a changé la donne et pris de panique il brandit à nouveau son arme afin de faire feu sur moi. La suite des événements vous la connaissez tout aussi bien que moi, suite à l'impact du coups de feu je me retrouvai terrassé et c'est alors que je semblais de plus en plus sombrer dans l'inconscience que le personnel médical s'affaira à me mettre dans une ambulance – en direction de l'hôpital – alors que les autorités s'occupaient de ce forcené qui – motivé par la folie – en était venu à attenter à ma vie.

Les médecins s'étaient occupé de moi un peu comme si j'étais un notable de la ville et ils finirent par me retirer le projectile et à stabiliser mon état, évidemment j'étais affaibli par tout ce qui venait d'arriver et ce n'était pas demain que j'allais pouvoir me remettre au sport mais au moins j'avais échappé à ce funeste destin que cet homme avait planifié à mon endroit. J'étais maintenant dans cette chambre et je m'y reposais depuis – déjà – quelques heures et c'est alors que le calme apparent qui y régnait finis par se dissiper lorsque la tempête Melody finit par frapper. Je finis par me réveiller à l'écho de sa voix, je pouvais aisément comprendre qu'elle était paniquée, et bien qu'affaibli je comptais bien me montrer des plus rassurant.

Je me suis fait troué la peau comme un grand mais il faut pas t'en faire je suis comme Superman on ne peut pas me tuer, je suis à l'épreuve des balles.

Évidemment c'était du moi tout cracher, je devais être le seul mec à trouver la force de déconner alors qu'il venait de passer à un cheveux de crever … je parvenais à lire la peur et la tristesse dans le regard de celle qui était mon employée et mon amante, je frissonnai au contact de sa main contre ma joue et , bien qu'affaibli , je me laissai aller à prolonger ce baiser des plus sensuels qu'elle venait de m'offrir. Alors que la chambre se vidait je voyais bien que la belle ressentait une certaine gêne et je laissai ma main se glisser contre la sienne lui faisant une place près de moi sur le lit.
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MessageSujet: Re: Ah les dommages collatéraux (pv)   Ah les dommages collatéraux (pv) EmptyJeu 14 Mar - 18:45

J'avais peur de perdre celui que je désirais depuis toujours, mon tendre amant. Ce qui était arrivé, m'avait fait prendre conscience que je devais prendre encore plus soin de mon chou préféré. J'avais tout fait pour le retrouver, même à l'hôpital. L'hôpital savait qui j'étais et je n'allais pas me laisser faire si jamais on osait me dire quoi que ce soit. Je le voyais conscient et ça me rassurait. M'imaginer me retrouver sans mon chou serait une torture. Là, ce que j'entendais c'était un sacré humour. Il me disait qu'il s'était fait trouer la peau comme un grand mais il ne fallait pas selon lui que je m'en fasse car il était comme Superman et que personne ne pouvait le tuer. S'il était Superman, j'aimerais être Lois Lane. Je serais la jeune fille en détresse et il viendrait me sauver. Seulement, il n'était pas Superman et je serais toujours inquiète. J'avais quand même affiché un début de sourire, avant d'afficher la tristesse et la panique.

Je regardais ce bel ange près de moi. Je continuais de caresser sa joue alors que notre baiser, qu'il avait prolongé, était tout ce qui était de plus intense, sensuel. Je détestais bien sûr tout ce monde, même s'ils étaient là pour le soigner. J'allais m'occuper de Sean, de la meilleure des manières possibles. Ce baiser était des plus fougueux. La chambre se vidait. Je ressentais bien une gêne. Je voulais me retrouver seule près de lui. Il me connaissait, enfin remarquait mes faiblesses, même si je jouais bien. Je sentais sa main glisser vers la mienne. J'étais des plus heureuses en cet instant. Il m'avait même laissé une place près de la mienne. Je me faufilais tout près de lui, caressant plus intensément sa joue, l'embrassant fougueusement, descendant ma main le long de son torse, me blottissant dans ses bras, ayant peur qu'il ne lui arrive quelque chose.


- Je m'inquièterais toujours pour toi, car je ne saurais vivre sans toi à mes côtés. Tu es mon héros, mais je ne souhaite qu'une chose : que tu sois prudent. Et si tu es à l'épreuve des balles mon chou, mon Superman, je serais ta Lois Lane, profitant du beau héros qu'elle peut avoir tout près d'elle. Je vais prendre soin de toi.

Je le titillais du bout des lèvres, tout en le caressant intensément, faisant attention à lui, même si par la suite, j'intensifiais plus le mouvement, le caressant avec ma jambe, sur ce qui m'intéressait le plus, lui mordillant le lobe de l'oreille, lui disant que je le désirais tellement, que j'étais folle de lui, tout en me mettant à califourchon sur lui, faisant attention à son torse, le griffant par endroit, léchant éventuellement le sang qui pouvait en découler. C'était des plus sauvages, mais je priais pour ne pas lui faire de mal.
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MessageSujet: Re: Ah les dommages collatéraux (pv)   Ah les dommages collatéraux (pv) EmptyDim 31 Mar - 16:33

La prudence n'a jamais été ma plus grande spécialité, tout ceux qui me connaissent s'entendront à merveille pour vous le confirmer … on me reconnaît comme étant quelqu'un d'arrogant, de fier et de têtu … je serais malvenu de me permettre de les contredire et puis c'est exactement au nom de ces traits de caractères que j'ai fini par me retrouver dans cette chambre d’hôpital. Évidemment je ne me sentais pas trop dans mon élément en me réveillant dans cette chambre d’hôpital mais c'était sans compter sur ma capacité phénoménale d'adaptation et par la présence à mes côtés de celle que je me plaisais à traiter comme ma petite princesse.

Évidemment je m'étais rapidement aperçu de cette inquiétude qui la rongeait et je ne pus m'empêcher de faire de l'humour, osant même me comparer à Superman et c'est alors qu'elle me dit que si j'étais Superman elle voulait volontiers être ma Lois Lane … je ne lui connaissais pas cet humour mais je dois avouer que j'aimais bien.

Je sais que tu ne peux que t'inquiéter pour moi et je te comprends car si les rôles étaient inversés je serais tout aussi dévasté et rongé par l'inquiétude mais rassure-toi ma princesse je serai rapidement sur pieds, j'ai déjà connu pire et puis ce n'est pas la première fois que je me fais flinguer. C'est la rançon de la gloire ma belle et cela est un des inconvénients du pouvoir.

J'étais si heureux avec elle et de la savoir près de moi me remplissait de bonheur, je lui souris tout en passant un bras autour de sa taille. Je savais que nous étions à l’hôpital, que l'endroit n'était pas propice à ce que nous désirions faire mais d'une certaine façon je m'en foutais car je faisais toujours ce que je voulais et pour le moment tout ce que je désirais c'était elle. Je me laissai donc aller, obéissant à mes pulsions et embrassant cette jolie jeune femme, tout en lui caressant le bas du dos alors qu'elle me griffait le torse, assise sur moi en califourchon.
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MessageSujet: Re: Ah les dommages collatéraux (pv)   Ah les dommages collatéraux (pv) EmptyMar 2 Avr - 23:41

Jamais je ne m'étais inquiétée pour quelqu'un comme je le faisais aujourd'hui mais je tenais à Sean, je tenais énormément à mon chou, ce bel ange qui comptait pour moi plus que tout. Je savais quelque part qu'il pouvait prendre de sacrées risques, mais c'était une partie de ce que j'aimais, car il était ambitieux. J'aimais son pouvoir et je ressentais un vif désir pour cet homme que je ne voulais qu'y succomber. J'aimais être une princesse et je le ressentais comme telle quand je me retrouvais tout contre lui. Bien sûr, j'avais ma part d'inquiétude, et je ne savais plus le cacher tellement je tenais à lui. J'avais quand même repris du poil de la bête. Je faisais de l'humour qui l'eut cru, mais pourtant, je me sentais si apaisée en sa présence que j'en oubliais tout le reste.

J'affichais quand même un sourire, lui montrer que je profitais de l'instant présent, de me retrouver à ses côtés. Il savait bien mon inquiétude pour lui et il comprenait ça, car il serait tout aussi dévasté et rongé tout comme moi en ce moment, mais je devais être rassurée, car il serait rapidement sur pied. Je me sentais encore plus en confiance. Il aurait connu pire ? Ce n'était pas la première fois qu'il se faisait flinguer, oh, mais qui pouvait tirer sur un beau gosse pareil, ils n'ont pas de coeur. Même s'il disait que c'était la rançon de la gloire et un des inconvénients du pouvoir, ce n'était vraiment pas juste de tirer sur lui. Il n'avait rien, il ne méritait pas ça et si jamais je retrouvais cette ordure, je lui botterais les fesses, tel Wonder Woman. En gros, je dirais "pas touche sinon, je mords."

Je me blottissais tout contre lui. Je profitais du bonheur tant retrouvé d'être près de celui que je désirais tellement, que j'aimais. Je sentais son bras autour de ma taille que j'en frissonnais de désir. Il m'embrassait comme personne ne l'avait fait auparavant. Je le désirais encore plus. Je sentais cette douce caresse dans le bas de mon dos. Je lui griffais le torse, étant toujours assise sur lui en califourchon, l'embrassant fougueusement. Je baissais mon haut lentement, ne pouvant dévoiler mes atouts, lui faisant une danse des plus sensuelles alors que je laissais mes mains aller vers ce que je désirais.


- Je ferais toujours attention à toi. Je tiens énormément à mon chou, à celui qui me fait sourire. Je me sens si exceptionnelle à tes côtés. J'ai confiance et je prendrais soin de toi. Tu seras rapidement sur pied. Que l'on ait pu te faire du mal me fend le coeur, car je ne vois aucune raison pour que l'on te fasse du mal. Tu as réussi et je désire qu'enfin d'être tout près de toi. J'ai enfin l'occasion de pouvoir profiter et celui qui osera te faire du mal, il aura affaire à moi.

J'en profitais pour lui procurer tout ce dont il pouvait rêver et même un petit cadeau, alors qu'ensuite, mon haut était complètement baissé, ne laissant que ma poitrine des plus généreuses, alors que je l'invitais à venir tout contre moi, me rapprochant comme un chasseur voulant sa tendre proie. Il était réellement à croquer.
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