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 perceval Ҩ nothing else matter.

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MessageSujet: perceval Ҩ nothing else matter.   perceval Ҩ nothing else matter. EmptySam 2 Fév - 14:45



« Maman, on peut aller au parc ? » Raven regarda Aaron un moment et acquiesça. Elle n’avait pas réellement envie de sortir, mais elle ne lui refusait jamais rien. Elle avait peur qu’il se sente seul, qu’il lui en veuille de ne pas avoir de père. Aussi la jeune femme essayait-elle de donner à son fils de l’amour pour deux. Elle enfila un jean noir et des bottes marrons, une tunique de la même couleur et son caban noir, attacha ses cheveux en un chignon volontairement mal fait et se maquilla légèrement. Elle restait féminine malgré le manque de temps qu’elle avait à consacrer à la gente masculine, devoir de maman célibataire oblige. « Hop hop hop jeune homme, ton manteau ! » cria-t-elle depuis la porte d’entrée, alors que son fils partait déjà en courant sur le chemin. Il revint, contrit, et l’enfila avant de repartir. Elle ferma la porte à clé et le suivit, le surveillant de loin. De temps à autre, elle lui disait de l’attendre au passage piéton ou de ne pas toucher les chiens qu’il ne connaissait pas, mais son enfant était vif d’esprit et ne lui causait pas réellement de problème. Raven avait la chance d’avoir un fils cadré malgré le manque de présence masculine dans sa vie et qui ne posait pas de questions. Pas trop. Il arrivait qu’il aborde le sujet et le cœur de Raven se serrait. Mais dans l’ensemble, le petit Aaron respectait la douleur de sa mère et la comprenait. Si lui souffrait, Raven n’en savait rien. « Aaron chéri, attend-moi. » lança-t-elle, avant de le rattraper. Si elle avait pu avoir une fille ! Elle attrapa la main de son fils et soupira, reprenant son souffle. Une seconde d’innatention et il avait déjà filé ! Parfois, la jeune femme avait envie de pleurer. Parfois, elle avait envie d’une vie différente, de tout recommencer. Personne ne pouvait savoir à quel point il était dur d’élever un fils de quatre ans lorsqu’on était une femme d’à peine vingt-quatre ans, quand on avait plus de parents, pas d’amant. Mais elle s’accrochait, pour Aaron, pour elle. Elle s’accrochait, parce que Raven n’avait pas le choix. « Je vais au Tobbogan ! » cria-t-il, et elle acquiesça en lâchant sa main.

Elle s’approcha du vendeur de boisson et commanda un café. « Belle journée aujourd’hui, n’est-ce pas ? Comment vas-tu aujourd’hui Raven ? » Cet homme, elle le connaissait depuis des années. Quand elle était enfant, sa mère l’emmenait jouer ici, dans ce même parc. Et il travaillait déjà là. Ce bon vieux Greg l’avait vue grandir, l’avait vue en compagnie de son ancien amoureux et père d’Aaron, Perceval, l’avait vue quand il l’avait quittée, l’avait vue quand Aaron est né. Il connaissait tout d’elle, ou presque. « Ca va toujours bien, le week-end ! » s’exclama-t-elle avec un sourire. « Bonne journée Greg, et merci ! » conclue-t-elle en déposant le billet sur le comptoir. Elle s’installa sur un banc et s’assura qu’Aaron était toujours là, avant de boire une gorgée de café. Elle posa le gobelet à côté d’elle et sortit une pile de copies de son sac ainsi qu’un style rouge, obligée de travailler ici puisqu’elle n’avait pas pu le faire chez elle. Son travail lui plaisait, s’occuper d’enfants de primaire était une tâche agréable et sans trop de prise de tête … Niveau devoirs à corriger à la maison, bien sûr. « Maman, tu joues avec moi ? » demanda son fils et s’asseyant brusquement à ses côtés. Le gobelet de café tomba et, pour protéger les copies, elle se releva brutalement. Trop tard, sa tunique était tâchée. « Aaron … » soupira-t-elle, oscillant entre l’agacement et l’ennui. « Maman, pardon, je suis désolé ! » Raven soupira encore et rangea ses copies dans son sac. Elle regarda le gâchis sur son vêtement et détourna le regard, cherchant une fontaine à eau des yeux. Alors ils se posèrent sur la dernière personne qu’elle s’attendait à voir. Prise d’un vertige, son sang ne fit qu’un tour et son cœur rata un battement. « Aaron s’il te plait, va jouer tout seul. S’il te plait. » Trop heureux de pouvoir fuir la situation, il hocha la tête et repartit en courant vers le bateau de pirate dans lequel les enfants jouaient gaiement. Elle suivit l’homme du regard qui s’avançait vers elle sans l’avoir vue. Pourtant il finit par relever les yeux et leurs regards se croisèrent. Raven entrouvrit la bouche, clouée sur place. Perceval.
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MessageSujet: Re: perceval Ҩ nothing else matter.   perceval Ҩ nothing else matter. EmptyDim 3 Fév - 0:18

perceval Ҩ nothing else matter. Sans_t13

Samedi. Jour du repos. En choisissant, d'être barman, je me suis dis que ça allait être sympa, rencontrer des tas de gens, rigoler à longueur de journée... Ce qui n'est pas totalement faux d'ailleurs, mais il faut ajouter à ça: les client saoulant, la plonge, le patron, les prise de tête avec les collègues... Le salaire est d'enfer mais l'horaire moins, je regrette toutes ces années que j'ai passé à sécher les cours. Ooooh, la belle époque! Si seulement je pouvais revenir en arrière. Tant de vacances! Ah! Le rêve. Mais tout ça est terminé! Plus qu'un week-end de repos et une semaine de vacances par an.

J'étais planté là, dans mon canapé, je dormais encore, habillé, chemise blanche, pantalon classique, chaussure classique ainsi que mon noeud papillon défait autour de mon cou, il étais pourtant midi passé, mais dés que je peux dormir j'en profite, je n'ai pas beaucoup d'heure de sommeille. Malheureusement, je ne pouvais pas compter sur Whisky, mon chien, un magnifique Husky que j'ai depuis qu'il était tout petit. Je sentais quelque, sa langue sur mon poignet, il me léchait pour me réveiller. Il voulait sortir, vu l'heure, pas de doute! J'ouvrais les yeux et me levais enfin. Je regardais Whisky, avec un grand sourire. "Laisse moi quelque minute pour me préparer et nous y allons.". Il est repartis se coucher dans son coin, il avait l'air déçus d'attendre, je n'allais pas être long de toute manière, je prendrais ma douche tantôt. Je suis allé dans ma chambre me changer, un training noir et un t-shirt de la même couleur font l'affaire, ainsi que me mettre une couche de déodorant et le tour est joué! Comme neuf! Qui as dit que les douches servent à quelque chose? En sortant de ma chambre je me suis tourné vers mon chien "Aller viens Whisky, on y va!". J'ouvrais la porte et nous sortions, Whisky à pris de l'avance en descendant les escalier, moi j'ai préféré attendre l’ascenseur. Une fois dehors nous nous sommes dirigés vers le parc. On va pas se mentir, je n'aime pas sortir du grand matin... Enfin, "du grand matin" c'est un peu exagéré comme concept. Il était treize heure passé quand je suis arrivé au parc, mais au moins ça me permettais de prendre l'air.

Je me promenais dans le parc, sans me soucier de ce qui se passait autours de moi. Sans me douter de ce qui pouvais arriver, sans me douter ce que le destin était en train de me préparer. Je poursuivais mon chemin, jusqu'au moment où l'idée me vint de vouloir me poser et regarder Whisky courir sur la plaine devant lui, je relevais la tête donc pour prendre connaissance des lieux, j'ai repéré une place libre au près d'une demoiselle, Raven, J'ai mis tout de même un certain temps à me rendre compte que c'était elle, mais il était trop tard pour prendre la fuite, j'étais déjà en train de marcher dans sa direction. Je me suis posé à ses côtés... Et rien. Ni l'un, ni l'autre ne péta un seul mot. J'ai jeté un coup d'oeuil à la pleine de jeux où se trouvait surement mon fils étant donné la présence de Raven. Je l'ai très vite aperçut, il jouait avec d'autres enfants. Un sourire s'est alors dessiné sur mon visage. Mais le blanc présent entre moi et Raven commençait à me peser. J'ai lancer un "Joli chignon." sans poser mon regard sur elle un seul instant, bien trop occuper à regarder Aaron s'amuser, ou plutôt ne trouvais-je pas le courage de la regarder droit dans les yeux après lui avoir fait tant de mal? Après avoir fait tant de mal à Aaron? Je ne me le pardonnerais jamais moi. Je sais de quoi je parle... Je suis exactement comme mon père, j'ai renié mon fils. Je le regrette aujourd'hui comme mon père que je ne suis pas prêt à accepter. Oui oui, je sais, l'hôpital qui se fout de la charité.
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MessageSujet: Re: perceval Ҩ nothing else matter.   perceval Ҩ nothing else matter. EmptyMar 5 Fév - 12:57



Raven laissa Perceval s’asseoir à ses côtés sans un mot. Elle n’aurait su dire si sa présence lui faisait du mal ou du bien. Le silence qui régnait entre eux était gênant, oppressant, mais l’avoir à ses côtés lui semblait naturel, comme si au fond il n’était jamais vraiment parti. Car en effet, pour Raven, Perceval était toujours là, quelque part dans son cœur et dans son esprit. Il ne pouvait en être autrement : il était son premier véritable amour, si on ne comptait pas Mickael qui s’amusait à lui toucher les seins derrière le gymnase au collège, ou Patrick qui lui cognait les dents avec son appareil dentaire quand il essayait de l’embrasser. Non, Perceval avait été le premier, le vrai, l’amour avec un grand A. La jeune femme se souvenait parfaitement de la première fois qu’elle l’avait vu, au lycée. Il avait cette même façon de se mettre en valeur, entre la classe et la décontraction, cheveux bruns rebelles, regard sombre et sourire d’ange. Comment avait-elle pu oublier à quel point il était beau ? Sa remarque la fit rougir doucement et elle sourit en tournant son visage vers le sien. Raven espéra un instant croiser son regard, en vain. Les yeux de Perceval étaient résolument tournés vers l’aire de jeu des enfants, il la fuyait. Il l’avait fuie pendant quatre ans, et maintenant qu’ils se retrouvaient il la fuyait encore. Sa tête se mit à tourner et elle lâcha un rire entre l’amusement et la nervosité. « Jolie chemise. » finit-elle par répondre en reportant son attention sur Aaron. Leur fils. A tous les deux. Aaron qui n’avait jamais connu son père. Ce dernier n’avait pas le cœur à jouer, cela se voyait à des kilomètres. Il leur lançait des regards intrigués, mourrait d’envie de s’approcher mais restait obstinément loin. Peut-être attendait-il un signe de Raven pour venir saluer ce jeune homme qui lui était inconnu et lui avait pourtant offert la vie. Cette dernière se détacha de la contemplation de son fils, peu décidée à lui présenter celui qui l’avait laissé tomber avant sa naissance. Elle se tourna encore vers Perceval, réussit cette fois à capter son regard, se plongea intensément dedans.

« Ca ne t’a jamais manqué ? Je veux dire, tu n’as jamais voulu le connaître ? » demanda-t-elle avec douceur, sans animosité. Raven n’était pas quelqu’un de méchant, elle n’aimait pas blesser les gens. Pas même ceux qui lui avaient brisé le cœur, comme lui avait réussi à le faire. Après trois ans de relation, pendant une grossesse … Il s’était tout bonnement évaporé. D’un claquement de doigts, il avait disparu. Elle avait énormément souffert de cette absence, tellement qu’elle avait donné à son fils le deuxième prénom de celui qu’elle avait tant aimé. Perceval avait réussi à lui donner un équilibre qu’elle ne connaissait qu’avec lui, et en le perdant, elle avait perdu cette bouée de secours qui l’empêchait de couler. Mais la naissance d’Aaron avait poussé Raven à se battre, à ne jamais abandonner. Elle en avait passé des nuits à pleurer, à crier, à s’arracher les cheveux. Elle en avait passé des journées à tourner en rond en le berçant, à inventer des chansons débiles pour qu’il arrête de pleurer. Elle avait dû en trouver des moyens pour qu’il accepte de manger sans recracher. Mais la jeune femme, à vingt ans à peine, avait réussi là où d’autres avaient échoué : seule, sans famille, sans amis et sans amant, elle avait élevé son fils. « Il est beau, non ? Il te ressemble beaucoup : quand il sourit, il a l’air aussi angélique que toi. Et quand il s’énerve, beaucoup plus mature. » Oui, c’était son portrait craché. Voilà peut-être la raison qui l’avait empêchée de tourner définitivement la page Perceval Harris. « Je ne sais même pas si ça t’intéresse, si ça t’intéressait vraiment tu m’aurais sûrement demandé des nouvelles ou aurais cherché à en avoir, mais … La maîtresse d’Aaron lui a fait passer des tests, visiblement il est plus précoce que les enfants de son âge. J’hésite à le transférer dans une école pour gamins surdoués, mais j’ai peur qu’il ne s’intègre pas, il n’a que quatre ans. Il parait que les gosses sont bizarres, là-bas. » expliqua-t-elle pensivement.

Raven observa Aaron se rapprocher doucement et lui sourit, lui faisant signe de les rejoindre. « Bonjour. » dit-il fièrement en tendant sa petite main d’enfant à Perceval, torse bombé. La jeune femme éclata de rire et son fils lui jeta un coup d’œil timide, se demandant si elle était encore fâchée. « C’est l’homme de la maison. » déclara Raven et Aaron, si’il avait été un personnage de dessin animé, aurait tellement rougi que de la fumée serait sortie de ses oreilles tellement il fut embarrassé. « Aaron chéri, je te présente Perceval. C’est l’ami du lycée dont je t’ai parlé l’autre fois, tu te souviens ? Perceval je te présente Aaron, mon fils. » dit-elle, comme si de rien n’était. Car elle n’avait jamais dit à Aaron qui était son père, même si elle lui avait de nombreuses fois parlé d’Aaron. Quant à Perceval, elle avait largement insisté sur le mon pour lui faire comprendre qu’il n’avait aucun droit sur lui. Etait-elle encore en colère aujourd’hui ? L’avait-elle été un jour ? Elle ne savait même pas si elle était énervée ou déçue, ou triste. Aaron s’appuya sur les genoux de sa mère et regarda Perceval en se tortillant. « Tu as le même nom qu’un des chevaliers dans la légende du roi Arthur ! Est-ce que tes parents aimaient bien cette histoire ? » voulut-il savoir. Le cœur de Raven se serra et elle se mordit la lèvre. Le sujet des parents n’était pas vraiment à aborder avec Perceval : son père l’avait régné, exactement comme il l’avait fait avec Aaron. Quant à elle, elle n’avait pas non plus eu de père puisque sa mère l’avait élevée seule, avec sa sœur. « Moi j’ai pas de papa, continua-t-il sans se rendre compte de la situation, je sais pas comment il aurait voulu m’appeler. Mais j’aime bien Aaron ! » se justifia-t-il devant le regard noir que lui lança Raven, pour le faire taire, ce qui marcha mieux que prévu. Elle était carrément mal à l’aise, pâlit un peu. Elle passa ses mains sur son visage et soupira discrètement, le cœur battant.
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MessageSujet: Re: perceval Ҩ nothing else matter.   perceval Ҩ nothing else matter. EmptyMar 5 Fév - 20:09

Je suis partis comme un lâche et je m'assied maintenant comme si de rien était à ses côté en complimentant sa coupe de cheveux, on aurait dit un ado coincé qui essaye de dragué une fille. J'aurais compris qu'elle pète un câble, qu'elle m'insulte ou même qu'elle me gifle. Mais au lieu de ça j'ai eu un compliment sur ma chemise. Je ne m'y attendais pas... Pas du tout, mais en y réfléchissant un peu mieux, c'est vrais que Raven n'a jamais été rancunière, contrairement à moi, si j'étais à sa place, elle en verrait de toute les couleur, oh oui. C'est en partie pour ça que je ne la regardait pas dans les yeux, j'aurais peut-être eu moins de mal à le faire si elle semblait m'en vouloir. Oh, elle m'en veut, j'en suis certain, je veux dire par là, que si elle le montrait, j'aurais peut-être moins de mal à la regarder dans les yeux si j'aurais droit à ma petite leçon. J'aurais peut-être moins de mal... Oui, peut-être... Alors que je commençais petit à petit à me perdre dans mes pensée Raven me demanda si je n'ai jamais voulu le connaitre. La réponse je la connaissais, mais j'avais besoin de quelques instants de réflexion, juste pour savoir comment la formuler cette fameuse réponse.

"Si, j'ai voulu... J'ai voulu le connaître mais aussi être à tes côté lorsque tu accouchait. Mais j'étais trop lâche pour ça... " Mais je voulais être là, parce que je t'aimais encore , je ne le lui ai pas dit car je manquais de courage et j'avais encore plus peur de lui dire que je l'aime encore aujourd'hui. Elle croirais surement que je me fous d'elle. Mais mes sentiments étaient bien réels, je l'aimais tellement; mais je ne pouvais lui en demander autant après le mal que je lui ai causé. Lorsqu'elle me dit qu'il me ressemblais beaucoup, je souris et j'y ai ajouté: "J'espère qu'il a ton caractère sinon t'es pas sortit de l'auberge." J'ai laissé échapé un petit rire. J'ai finalement décidé de tourné ma tête vers elle, je voulais pas qu'elle crois qu'elle parle au vent, alors qu'elle me parlais de mon fils. Je ne pouvais qu'être satisfait d'avoir un génie de fils. Je voyais Aaron s'approcher petit à petit, et j'ai vu sa maman l'encourager à nous rejoindre, j'étais à l'apogée de ma joie. J'allais enfin rencontrer mon fils. Sa petite main tondu dans ma direction. Au bout de 4 ans d'existence j'entend pour la première fois la voix de mon enfant. J'ai serré sa petite main tout en lui répondant "Bonjour, Monsieur!" Un large sourire est apparus sur mon visage, je crois que je n'ai jamais été autant heureux de ma vie. La présentation, Mon sourire s'effaça après que Raven n'ai parlé de son fils... Bah... Elle as raison en fin de compte, je ne suis que le géniteur... Je n'ai aucun droit sur lui.

Aaron se mit alors a me poser des question, il commença par mon prénom, oui, il semblait fasciné par mon prénom. Mais sa question gêna un peu Raven, et m'aurait gêné aussi, si il ne s'agissait pas de mon fils. "Je suis orphelin, je ne connais pas mes parents..." ce n'était pas totalement faux, ma mère est en effet morte quant à mon père n'existe pas pour moi. Il continua en disant qu'il n'avais pas de papa. Je me suis sentis mal. Très mal. J'ai rendu ce gosse malheureux, tout comme l'a fait mon père avec moi. J'ai pris un instant de pause j'ai cherché de l'aide dans le regard de sa mère. Mais j'ai décidé de prendre les chose en main. "Je suis certain qu'il n'aurait pas choisis mieux que sa maman, c'est un très beau prénom, Aaron, tu sais quoi? Moi aussi je m'appel Aaron." J'aurais voulu l'appeler Luke ou Ludo, grand fan de Star Wars que j'étais... Je souriais au petit puis me suis retourné vers, la femme que j'aime, et sans réfléchir je lui ai posé la question "Sinon tu est avec quelqu'un?" Je me suis très vite rendu compte que ma question était impolie et surtout mal placée "Enfin, excuse moi, je voulais pas..." Gêné j'ai arrêté net de parler.
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